Suite à la publication d’un artcile sur le mal de dos et le Covid 19, nous pouvons observer que le mal de dos est majoré notamment apr le mandue de mouvement et kla sédentarité augmentée.
Auteurs: Peter Šagát , Peter Bartík , Pablo Prieto González , Dragoș Ioan Tohănean , Damir Knjaz
Article: Impact of COVID-19Quarantine on Low Back Pain Intensity, Prevalence, and Associated Risk Factors among Adult Citizens Residing in Riyadh (Saudi Arabia): A Cross-Sectional Study
Population et mal de dos
Cette étude visait à estimer l’effet de la quarantaine de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) sur l’intensité, la prévalence et les facteurs de risque associés de la lombalgie (LBP) chez les adultes à Riyad (Arabie saoudite). Un total de 463 adultes (259 hommes et 204 femmes) âgés de 18 à 64 ans et résidant à Riyad (Arabie saoudite) ont participé à cette étude transversale.
Evaluation lombalgie
Un questionnaire structuré auto-administré composé de 20 questions concernant les caractéristiques démographiques, les aspects liés au travail et aux études, l’activité physique (AP), les habitudes et tâches quotidiennes et les aspects liés à la douleur a été utilisé. La prévalence ponctuelle de la lombalgie avant la quarantaine était de 38,8% et de 43,8% après la quarantaine.
Résultats études
L’intensité de la lombalgie a considérablement augmenté pendant la quarantaine. Le bas du dos était également la zone de douleur musculo-squelettique la plus courante. Par ailleurs, pendant la quarantaine, une intensité de lombalgie significativement plus élevée a été signalée par les personnes qui (a) étaient âgées de 35 à 49 ans, (b) avaient un indice de masse corporelle égal ou supérieur à 30, (c) avaient subi des niveaux de stress plus élevés, (d) ne s’est pas conformé aux recommandations ergonomiques, (e) était assis pendant de longues périodes, (f) n’a pas pratiqué suffisamment d’activité physique (AP) et (g) a fait du télétravail ou de l’apprentissage à distance. Aucune différence significative n’a été trouvée entre les sexes. La quarantaine du COVID-19 a entraîné une augmentation significative de l’intensité de la lombalgie, de la prévalence ponctuelle et de la plupart des facteurs de risque associés. (d) ne s’est pas conformé aux recommandations ergonomiques, (e) était assis pendant de longues périodes, (f) n’a pas pratiqué suffisamment d’activité physique (AP) et (g) a fait du télétravail ou de l’apprentissage à distance. Aucune différence significative n’a été trouvée entre les sexes.
Covid 19 et mal au bas du dos
La quarantaine du COVID-19 a entraîné une augmentation significative de l’intensité de la lombalgie, de la prévalence ponctuelle et de la plupart des facteurs de risque associés. (d) ne s’est pas conformé aux recommandations ergonomiques, (e) était assis pendant de longues périodes, (f) n’a pas pratiqué suffisamment d’activité physique (AP) et (g) a fait du télétravail ou de l’apprentissage à distance. Aucune différence significative n’a été trouvée entre les sexes. La quarantaine du COVID-19 a entraîné une augmentation significative de l’intensité de la lombalgie, de la prévalence ponctuelle et de la plupart des facteurs de risque associés.